François Hollande: "No hay duda de que ha sido un ataque terrorista"
Hay, además, diez personas heridas, cinco de ellas en estado grave
Se trata del semanario satírico Charlie Hebdo, que había sido atacado antes. Al menos doce personas han muerto en un ataque brutal contra la sede parisina del semanario satírico Charlie Hebdo, que había sido objeto de amenazas en el pasado por haber publicado caricaturas de Mahoma. El presidente François Hollande lo ha calificado como un "atentado terrorista" de una "barbarie excepcional" y ha puesto en alerta a las fuerzas policiales de la capital francesa.
La masacre se ha producido a mediodía en el distrito XI de París, cuando dos hombres encapuchados, vestidos de negro, han entrado en las oficinas de la revista armados con rifles Kalashnikov y han disparado contra el personal. Según el gobierno, la policía busca en total a "tres criminales" por toda la capital.A las 11.30 los atacantes han asesinado a la primera víctima, antes de entrar en las oficinas de la revista. Una vez en el interior, en la sala de redacción ubicada en la segunda planta, han matado a diez personas, entre ellas ocho periodistas, un invitado y un policía encargado de la protección de uno de los responsables de la publicación. LEER MÄS...FUENTE:::::
Paroles :
Je m'appelle Charlie,
et aujourd'hui j'ai froid,
j'ai pas envie de rire.
J'avais oublié qu'en hiver,
il était bon d'se couvrir.
J'me suis dessiné des mitaines,
et une écharpe bon marché,
j'aurai jamais cru qu'mon rêve,
pourrait m'ôter ma liberté.
Mon crime, celui pour l'quel j'suis condamné,
c'est d'avoir souri sur des sujets où les autres se sont braqués,
C'est d'oser dénoncer, avec second degré, caricaturer une réalité
Souvent trop oubliée.
Mais où vas tu mon monde ? Esclave des arts et des lettres ?
Ta liberté c'est donc de fuir plutôt que de l'admettre ?
Tu appelles au combat, quand nous restons bouffons des rois,
Divertir pour des sourires, est-ce là l'erreur qui nous tuera ?
J'ai froid, j'ai peur. Aujourd'hui le vent me glace le sang,
j'ai l'impression qu'la fin a trouvé son commencement.
Alors courez, hurlez, indignez vous face à mes dires,
Alors criez, jugez, si être à genoux pour vous c'est vivre,
On ne m'enlèvera rien, on ne m'achèvera pas,
Vous voulez être libres ? Mais vous n'êtes rien de ça.
Alors pleurez, tombez, mais ne regrettez pas,
La vie nous a donné le choix de mener nos propres combats,
Notre arme a été la parole, quelques crayons, ça n'suffit pas,
Il aura suffit d'une fois pour que notre arme ait perdue foi.
Je m'appelle Charlie, et aujourd'hui j'ai froid, j'ai pas envie d'rire.
Non car aujourd'hui je suis mort, et c'est demain que vient le pire.
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